1955 Les héros sont fatigués – de Yves Ciampi avec Maria Félix, Yves Montand, Jean Servais & Gérard Oury | 1956 Michel Strogoff (Michele Strogoff, der kurier de zaren) de Carmine Gallone avec Sylva Koscina & Geneviève Page | 1968 Le médecin de Hambourg (der arzt von St. Pauli) de Rolf Olsen avec Heinz Reinche, Fritz Wepper & Dieter Borsche | 1978 La percée d’Avranches (breakthrough) de Andrew V. McLaglen avec Richard Burton & Robert Mitchum | ||
Issue de la grande bourgeoisie allemande, Curd Gustav Andreas Gottlieb Franz Jürgen Jürgens voit le jour le 13 décembre 1915, à Munich, capitale bavaroise de l’Empire Allemand. Après ses études, il travaille quelques temps comme journaliste à Berlin avant se consacrer totalement à sa passion: le théâtre. Il apprend son nouveau métier sous la coupe du professeur de comédie, l’acteur Walter Janssen. Il débute en 1935 sur les planches du Metropoltheater de Dresde dans la pièce «Ball de nationen».
En 1935, il entame simultanément sa carrière au cinéma dans «Valse royale» aux côtés de Carola Höhn. Ensuite, il tourne des rôles secondaires dans quelques productions, avant d’obtenir ses premiers succès personnels dans «Salon wagon E 417» (1939) de Paul Verhoeven et «Opérette» (1940) de Willi Forst. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il tourne des films de qualité médiocre mais populaires.
Après le conflit, sans abandonner le théâtre, Curd Jürgens tourne en Autriche et en Allemagne. Il devient rapidement une vedette et conquiert le cœur du public, et particulièrement celui de millions de femmes germaniques, notamment dans: «The Mozart story» (1947) de Karl Hartl, «Le baiser n’est pas un péché» (1950) de Hubert Marischka, «Vienne, 1er avril 2000» (1952) de Wolfgang Liebeneiner et «La dernière valse» de Arthur Maria Rabenalt. En 1954, il devient un immense star avec «Le général du diable» de Helmut Käutner. Son succès dépasse les frontières allemandes et Curd en profite pour internationaliser sa carrière. Il tourne en France pour Yves Ciampi dans «Les héros sont fatigués» (1955) – Coupe Volpi d’interprétation masculine au Festival de Venise –, pour Roger Vadim dans «Et Dieu créa la femme» (1956) et pour Henri-Georges Clouzot dans «Les espions» (1957). Il travaille aussi beaucoup en Italie, en Angleterre et aux Etats-Unis.
Dans les années soixante et soixante-dix, Curd Jürgens, stéréotype du parfait allemand, est une star internationale. Il apparaît dans bons nombres de films historiques, de guerre ou d’aventures et donne la réplique aux plus grands noms du cinéma international, parmi lesquels: Romy Schneider dans «Katia» (1960), Merle Oberon dans «Le cœur et ses passions» (1961), Alida Valli dans «Le désordre» (1962), Jean Gabin dans «Le jardinier d’Argenteuil» (1966), Yul Brynner dans «La bataille de la Neretva» (1969), Roger Moore dans «L’espion qui m’aimait» (1977) et Michel Serrault dans «La gueule de l’autre» (1979). Il participe aussi a plusieurs productions télévisées.
Curd Jürgens réalise trois films dans les années cinquante et un en 1961 et se marie cinq fois. Deux des ses épouses sont les actrices: Judith Holzmeister (de 1947 à 1955) et Eva Bartok (de 1955 à 1957). En 1981, sa carrière est couronnée par un prix pour l’ensemble de sa prestigieuse carrière par l’Académie du Cinéma Germanique.
Le monument du cinéma qu’est Curd Jürgens décède le 18 juin 1982, à Vienne (Autriche), foudroyé par une crise cardiaque. Il avait soixante-six ans. Son corps est inhumé au cimetière central de la capitale autrichienne.
© Philippe PELLETIER
1935 | Valse royale ( königswalzer ) de Herbert Maisch avec Carola Höhn |
1936 | L’inconnue ( die unbekannte ) de Frank Wisbar
avec Jean Galland
Parade de famille / Parade familiale ( familienparade ) de Fritz Wendhausen avec Maria Seidler |
1937 | L’amour ne peut pas mentir ( liebe kann lügen / der roman einer siebzehnjährigen ) de Heinz
Helbig avec Jutta Freybe
Tango notturno – de Fritz Kirchhoff avec Lina Carstens Paramatta bagne de femmes ( zu neuen ufern ) de Douglas Sirk avec Zarah Leander |
1938 | Das mädchen von gestern nacht – de Peter Paul Brauer avec Hilde Hildebrand |
1939 | Salon wagon E 417 ( salonwagen E 417 ) de Paul Verhoeven
avec Käthe von Nagy
Record du monde dans les marguerites ( weltrekord im seitensprung ) de Georg Zoch avec Else Elster |
1940 | Cœur meurtri / Le cœur errant / Cœur sans maison ( herz ohne heimat ) de Otto Linnekogel
avec Egon von Jordan
Opérette ( operette / operetta ) de Willi Forst, Karl Hartl & Robert Naestelberger avec Maria Holst |
1942 | La voix du cœur ( stimme des herzens ) de Johannes Meyer
avec Marianne Hoppe
Les amours de Mozart ( wen die götter lieben ) de Karl Hartl avec Hans Holt Les femmes ne sont pas des anges ( frauen sind keine engel ) de Willi Forst avec Richard Romanowsky |
1943 | Ein glücklicher mensch / Schule des lebens – de Paul Verhoeven avec Ewald Balser |
1944 | Un regard en arrière ( ein blick zurück / am vorabend ) de Gerhardt Menzel
avec Maly Delschaft
Eine kleine sommermelodie – de Volker von Collande avec Ruth Buchardt |
1945 | Jeunes filles de Vienne ( Wiener Mädeln ) de Willi Forst avec Dora Komar |
1947 | Aller et retour ( hin und her ) de Theo Lingen
avec O.W. Fischer
Valse céleste ( der himmlische walzer ) de Géza von Cziffra avec Elfie Mayerhofer Leckerbissen – de Werner Malbran avec Zarah Leander |
1948 | The Mozart story – de Karl Hartl & Frank Wisbar
avec Irene von Meyendorff
L’ange à la trompette ( der engel mit der posaune ) de Karl Hartl avec Paula Wessely Tu ne me quittera pas ( verlorenes rennen / du darfst mich nicht verlassen ) de Max Neufeld avec O.W. Fischer Ma mère et moi / L’œuf de coucou ( das kuckucksei / kinder der liebe ) de Walter Firner avec Anne-Marie Blanc |
1949 | Hexen – de Hans Schott-Schöbinger
avec Rudolf Ott
An klingenden ufern – de Hans Unterkircher avec Rudolf Brix La maison chantante ( das singende haus ) de Franz Antel avec Dorothea Neff Der schuß durchs fenster – de Siegfried Breuer avec Edith Mill Prämien auf den tod – de Curd Jürgens avec Werner Krauss + scénario |
1950 | Ma mère et moi ( Lambert fühlt sich bedroht / das haus im nebel ) de Géza von Cziffra
avec Leopold Rudolf
Le baiser n’est pas un péché ( küssen ist keine sünd / bruder straubinger ) de Hubert Marischka avec Hans Moser Gestörte hochzeitsnacht / Gute natch, Mary – de Helmut Weiss avec Rudolf Vogel Pikanterie ( eine seltene geliebte ) de Alfred Braun avec Irene von Meyendorff |
1951 | Un sourire dans la tempête ( ein lächeln im sturm / sturm über Alaska ) de René Chanas
avec Oskar Werner
Secret de femme ( geheimnis einer ehe / talent zum glück ) de Helmut Weiss avec Marianne Koch Der schweigende mund / Der himmel sagt nein – de Karl Hartl avec Gisela Uhlen Gangsterpremiere / So ein theater ! – de Curd Jürgens avec Marcel André + scénario Knall und fall als hochstapler – de Hubert Marischka avec Rudolf Carl |
1952 | Le mystère de la vie ( haus des lebens ) de Karl Hartl
avec Gustav Fröhlich
La rose de Wörthersee / Tu es la rose du Wörthersee ( du bist die Rose vom Wörthersee ) de Ernst Marischka avec Lotte Rausch Vienne, 1er avril 2000 ( 1. April 2000 ) de Wolfgang Liebeneiner avec Karl Ehmann Praterherzen / Herenspaziert / Das leben ist stärker / Tingelangel – de Paul Verhoeven avec Lotte Lang |
1953 | Maria et ses amoureux ( man nennt es liebe ) de John Reinhardt
avec Winnie Markus
Musik bei nacht – de Kurt Hoffmann avec Paul Hubschmid La dernière valse ( der letzte walzer ) de Arthur Maria Rabenalt avec Karin Dor Tout pour papa ( alles für Papa ) de Karl Hartl avec Olga Tschechowa Meines vaters pferde / Meines vaters pferde 1. Teil : Lena und Nicoline – de Gerhard Lamprecht avec Paul Bildt |
1954 | Cirque d’amour / Une vie de cirque ( Rummelplatz der liebe ) de Kurt Neumann
avec Eva Bartok
Une femme de tête ( eine frau von heute ) de Paul Verhoeven avec Luise Ullrich Mon enfant vivra / Prison d’amour ( gefangene der liebe ) de Rudolf Jugert avec Mady Rahl Le destructeur ( das bekenntnis der Ina Kahr ) de Georg Wilhelm Pabst avec Elisabeth Müller Toi seule ( du bist die richtige ) de Erich Engel & Josef von Báky avec Elma Karlowa Le général du diable ( des teufels general ) de Helmut Käutner avec Marianne Koch |
1955 | Les héros sont fatigués – de Yves Ciampi
avec Maria Félix
Coupe Volpi du meilleur acteur au festival du cinéma de Venise, Italie Orient Express ( Orientexpress ) de Carlo Ludovico Bragaglia avec Eva Bartok Amour sans illusion ( liebe ohne illusion ) de Erich Engel avec Maria Sebaldt Les rats ( die ratten ) de Robert Siodmak avec Maria Schell Il n’est jamais trop tard ( du mein stilles tal ) de Leonard Steckel avec Bernhard Wicki Le pont d’or ( die goldene brücke ) de Paul Verhoeven avec Ruth Leuwerik |
1956 | Les drogués / Sans toi ( ohne dich wird es nacht ) de Curd Jürgens
avec Eva Bartok
Le diable en personne ( teufel in seide ) de Rolf Hansen avec Lilli Palmer Londres appelle Pôle Nord ( Londra chiama Polo Nord ) de Duilio Coletti avec Dawn Addams Et dieu… créa la femme – de Roger Vadim avec Brigitte Bardot Michel Strogoff ( Michele Strogoff / der kurier de zaren ) de Carmine Gallone avec Geneviève Page Œil pour œil – de André Cayatte avec Folco Lulli |
1957 | Les espions – de Henri-Georges Clouzot
avec Simone Signoret
Amère victoire ( bitter victory ) de Nicholas Ray avec Richard Burton Tamango ( la rivolta dell’esperanza ) de John Berry avec Dorothy Dandridge Torpilles sous l’Atlantique ( the enemy below ) de Dick Powell avec Robert Mitchum |
1958 | Le démon de midi / Tempes grises et jeunes amours ( this happy feeling ) de Blake Edwards
avec Debbie Reynolds
Le vent se lève – de Yves Ciampi avec Mylène Demongeot Moi et le colonel ( me and the colonel ) de Peter Glenville avec Danny Kaye Les révoltés du Rhin / Le brigand au grand cœur ( der schinderhannes ) de Helmut Käutner avec Maria Schell L’auberge du sixième bonheur ( the inn of the sixth happiness ) de Mark Robson avec Ingrid Bergman |
1959 | Visa pour Hong Kong ( ferry to Hong Kong ) de Lewis Gilbert
avec Orson Welles
L’ange bleu ( the blue angel ) de Edward Dmytryk avec May Britt Katia / Une jeune fille, un seul amour ( Katja, die ungekrönte kaiserin ) de Robert Siodmak avec Romy Schneider |
1960 | Le comte des échecs / La Gestapo enquête à minuit / Le chemin de la liberté ( die
schachnovelle ) de Gerd Oswald
avec Claire Bloom
Le page du roi Gustave-Adolphe ( Gustav Adolfs Page ) de Rolf Hansen avec Liselotte Pulver L’homme des fusées secrètes ( I aim at the stars / wernher von braun / ich greife nach den sternen ) de Jack Lee Thompson avec Adrian Hoven |
1961 | Le jour le plus long ( the longest day ) de Ken Annakin, Andrew Marton, Bernhard Wicki &
Gerd Oswald avec John Wayne
Fric-frac rue Latour ( bankraub in der Rue Latour ) de Curd Jürgens avec Klaus Kinski Le triomphe de Michel Strogoff ( il trionfo di Michele Strogoff ) de Victor Tourjansky avec Simone Valère Le cœur et ses passions / Le cœur et les passions / Le jardin secret ( of love and desire ) de Richard Rush avec Merle Oberon |
1962 | Le désordre ( il disordine ) de Franco Brusati
avec Alida Valli
Le grand retour ( miracle of the white stallions / flight of the white stallions ) de Arthur Hiller avec Robert Taylor Paradis des femmes / Paradis des hommes / Les Don Juan de la Côte d’Azur ( i Don Giovanni della Costa Azura / i dongiovanni della Costa Azzurra ) de Vittorio Sala avec Eleonora Rossi Drago L’opéra de quat’sous ( die dreigroschenoper ) de Wolfgang Staudte avec Lino Ventura |
1963 | Le désir ( psyche 59 ) de Alexander Singer
avec Patricia Neal
Château en Suède – de Roger Vadim avec Suzanne Flon Les parias de la gloire – de Henri Decoin avec Folco Lulli Rencontre à Salzburg / Deux jours à vivre ( begegnung in Salzburg ) de Max Friedmann avec Nadia Gray |
1964 | Au septième coup / Le septième coup ( hide and seek ) de Cy Enfield
avec Ian Carmichael
Lord Jim – de Richard Brooks avec Peter O’Toole Les D.M. killers ( D.M. killer ) de Rolf Thiele avec Elga Andersen |
1965 | Le congrès s’amuse ( der kongreß amüsiert sich ) de Géza von Radvanyi
avec Paul Meurisse
Belles d’un soir / Parade d’amour ( das liebeskarussell ) de Alfred Weidenmann, Rolf Thiele & Axel von Ambesser |
1966 | Le carnaval des barbouzes ( gern hab’ich frauen gekitt ) de Alberto Cardone, Louis Sarlanes,
Sheldon Reynolds & Robert Lynn
avec Stewart Granger
Duel à la vodka / Ces dames de l’étoile rouge ( zwei girls vom roten stern ) de Sammy Drechsel avec Daniel Gélin Le jardinier d’Argenteuil / Le faussaire d’Argenteuil – de Jean-Paul Le Chanois avec Jean Gabin Guet-apens à Téhéran ( geheimnis der gelben mönche / how to a lady / wie tötet man eine dame / target to killing / The secret of the yellow monks ) de Manfred R. Köhler avec Adolfo Celi |
1967 | Pas de roses pour OSS 117 ( niente rose per OSS 117 ) de André Hunebelle, Renzo Cerrato &
Jean-Pierre Desagnat
avec John Gavin
Der lügner und die nonne – de Rolf Thiele avec Robert Hoffmann Tueurs au karaté ( the karate killers / the five daughters affair ) de Barry Shear avec Herbert Lom La gloire des canailles / De la gloire à l’enfer ( dalle Ardenne all’inferno /…und morgen fahrt zur hölle ) de Alberto de Martino avec Frederick Stafford |
1968 | Assassinats en tous genres ( the assassination bureau / the assassination bureau limited ) de
Basil Dearden avec Diana Rigg
Le médecin de Hambourg / Le docteur de Hambourg ( der arzt von St. Pauli ) de Rolf Olsen avec Heinz Reinche La bataille d’Angleterre ( the battle of Britain ) de Guy Hamilton avec Kenneth More Les héros de Yucca / Les six invincibles ( the heroes / the invincible six ) de Jean Negulesco avec Stuart Whitman La légion des damnés ( la legione di dannati / battle of the commandos / la brigada de los condenados / die zum teufel gehen / legion of the damned ) de Umberto Lenzi avec Jack Palance |
1969 | La bataille de la Neretva ( la battaglia della Neretva / bitka na Neretvi ) de Veliko Bulajic
avec Yul Brynner
La gifle ( ohrfeigen ) de Rolf Thiele avec René Deltgen Nuits blanches de Hambourg / Quand la nuit tombe sur Hambourg ( auf der reeperbahn nachts um halb eins ) de Rolf Olsen avec Jutta d’Arcy Cannabis – de Pierre Koralnik avec Jane Birkin |
1970 | Hello, goodbye ( hello-goodbye ) de Jean Negulesco
avec Michael Crawford
Satan, mon amour ( the Mephisto waltz ) de Paul Wendkos avec Jacqueline Bisset La marque du diable ( hexen bis aufs blut gequält / Austria / brenn, hexe, brenn / burn, witch, burn / hexen / mark of the devil / Satan ) de Michael Armstrong avec Udo Kier Hôtel de passe à Hambourg ( das studenthotel von St. Pauli ) de Rolf Olsen avec Konrad Georg Un prêtre pas comme les autres / Et dieu créa le mal / Monsieur le curé est mis au vert et voit rouge... ( der pfarrer von St. Pauli ) de Rolf Olsen avec Barbara Lass |
1971 | Kill ! ( kill ! kill ! kill ! kill ! / kill : Matar ) de Romain Gary
avec Jean Seberg
Profession : Aventuriers – de Claude Mulot avec Nathalie Delon Nicolas et Alexandra ( Nicholas and Alexandra ) de Franklin J. Schaffner avec Michael Redgrave Käpt’n rauhbein aus St. Pauli – de Rolf Olsen avec Heinz Reincke Deux mâles pour Alexa ( fieras sin jaula / due maschi per Alexa / two masks for Alexa ) de Juan Logar avec Rosalba Neri |
1972 | À la guerre comme à la guerre – de Bernard Borderie avec Marianne Comtell |
1973 | Le caveau de la terreur ( vault of horror / further tales from the crypt / tales from the crypt,
part II ) de Roy Ward Baker
avec Dawn Addams
Segment « This trick’ll kill you » En voiture Simone ! ( undercovers hero / soft beds and hard battles ) de Roy Boulting avec Lila Kedrova Radiagrafia di una svastika – de A. Merlotti |
1974 | Cagliostro – de Daniele Pettinari
avec Rosanna Schiaffino
Povero Cristo – de Pier Carpi avec Rosemary Dexter |
1975 | Prouesses sexuelles printanières / Prouesses sexuelles du printemps / Second printemps
( der zweite frühling ) de Ulli Lommel
avec Eddie Constantine
Folies bourgeoises – de Claude Chabrol avec Stéphane Audran DO La lunga strada senza polvere – de Sergio Tau avec Isa Miranda Seulement apparition |
1976 | Auch mimosen wollen blühen – de Helmut Meewes
avec Horst Frank
Ab morgen sind wir reich und ehtlich / I soliti ignoti colpiscono ancora / As of tomorrow / E una banca rapiniamo perfatale combinazione / Rich and respectable – de Franz Antel avec Carroll Baker |
1977 | L’espion qui m’aimait ( the spy who loved me / Ian Fleming’s the spy who loved me ) de
Lewis Gilbert avec Roger Moore
Missile X ( missile X: Geheimauftrag neutronenbombe / allarme nucleare / cruise missile / La geurra de los misiles / misile X, orden secreta bomba de neutrones / Missile X: The neutron bomb incident/ Teheran incident ) de Leslie H. Martinson avec John Carradine |
1978 | L’auberge du dragon volant ( the sleep of death / the flying dragon / the Inn of the flying dragon ) de Calvin Floyd
avec Patrick Magee
Gigolo ( schöner gigolo, amer gigolo / just a gigolo ) de David Hemmings avec David Bowie La percée d’Avranches ( breakthrough / Steiner: Das eiserne kreuz, 2. Teil /Sergeant Steiner ) de Andrew V. McLaglen avec Rod Steiger |
1979 | De l’or au bout de la piste ( Goldengirl ) de Joseph Sargent
avec James Coburn
La gueule de l’autre – de Pierre Tchérnia avec Michel Serrault |
1980 | Checkpoint Charlie ( Warum die UFOs unseren salat klauen ) de Hans Jürgen Pohland avec Hildegard Knef |
1981 | Téhéran 43 / Téhéran 43 : Nid d’espions ( Teheran-43 / the eliminator ) de Alexander Alov & Vladimir Naoumov avec Alain Delon |
AUTRES PRIX : | |
Prix d’honneur aux Prix du cinéma Germanique, Allemagne ( 1981 ) |